Nous n’irons plus travailler… nous irons œuvrer
Table ronde : travailler au futur
Depuis que le monde a stoppé sa course au printemps 2020, l’idée que le travail doit l’emporter sur tout le reste s’effrite. Travailler moins, travailler mieux ou autrement, beaucoup s’interrogent et réévaluent ce qui compte pour eux.
Ainsi un tiers des actifs chercherait à l’issue du premier confinement, un job avec du sens, et 40 % des jeunes cadres disent aujourd’hui penser à une reconversion porteuse de sens. L’idéologie productiviste qui veut faire croire que chaque moment devrait être rentabilisé et servir à sa carrière est aujourd’hui remise en question.
Nos 3 invité.e.s, expert.e.s du futur du travail, vont nous aider à interroger l’avenir.
Comment envisager une version optimiste d’un futur où nous n’irons plus travailler… Nous irons oeuvrer !
Nous aborderons les questions et thématiques :
De quelle manière la crise actuelle nous oblige à repenser le travail ? Faut-il s’émanciper de l’idéologie du travail productif et des injonctions à la croissance ? Pourquoi nous définissons-nous par notre emploi ? Doit-on tous avoir une vocation ? Faut-il hybrider ses activités pour s’épanouir dans le travail ? Doit on travailler moins pour vivre mieux ? Le CV est il le bon outil pour trouver un travail épanouissant ? …
Cette table ronde d’une durée d’une heure sera diffusée en ligne vendredi 26 novembre de 17h30 à 18h30. Vous pourrez poser vos questions aux intervenant.e.s sur le chat.
Avec :
Marielle Barbe, spécialiste du futur du travail, du phénomène du slashing et de la multipotentialité. #Hybridation
Solenn Thomas, fondatrice d’Ekore, mouvement culturel d’humanité au travail, Experte dans la détection des profils atypiques et à haut potentiel #Humanité
Modérée par Fabienne Olivier, CEO de Slashers.
Comme tous les événements du festival, nous pratiquons la participation consciente. Sur la plateforme billetweb, vous prenez des places gratuites. Puis il y a une cagnotte globale unique sur OpenCollective où vous pouvez suivre et même donner votre avis sur l’usage qui sera fait de vos contributions.
